Vendre votre entreprise – pourquoi pas en Europe ?
Vous ne souhaitez pas montrer vos livres à un concurrent ? Vous ne voulez pas rouler des actions et poursuivre avec un acquéreur financier ? Découvrez comment des entrepreneurs européens qualifiés pourraient très bien être votre acquéreur idéal.
Les firmes d’investissement et les grandes entreprises préfèrent courtiser les moyennes et les grandes entreprises au détriment des PME qui ne sont pas aussi attrayantes. Et ce qui est peut-être plus inquiétant encore, c’est que les études prédisent une véritable diminution du nombre d’entrepreneurs locaux qui seront en mesure d’acquérir ces entreprises dans le futur. En effet, le Gouvernement du Québec1 estime que le nombre d’entrepreneurs capables d’acheter des entreprises existantes diminuera de plus de 14 % au Québec (5,3 % au Canada) d’ici 2018, représentant une pénurie de plus de 20,000 acheteurs potentiels pour le Québec à lui seul.
En outre, ce qui aggrave le problème, c’est que de nombreuses PME commencent à peine à se remettre de la crise économique. Ces dernières affichent, en effet, des profits plus faibles depuis 2008, diminuant la valeur de l’entreprise bien en deçà des attentes et des exigences du propriétaire actuel.
Si vous êtes incapable de trouver un acheteur sur le marché domestique, avez-vous songé aux marchés européens?
Les avantages de faire la promotion de votre entreprise sur les marchés européens
L’avantage de faire la promotion de votre entreprise sur les marchés européens comporte de nombreux bénéfices :
- Les acheteurs européens proviennent de marchés ayant des multiples d’évaluation généralement plus élevés; ils réalisent qu’ils explorent de nouveaux marchés et seront prêts à être patients pour obtenir un rendement sur leur investissement.
- La faiblesse du dollar canadien augmente le pouvoir d’achat de l’investisseur étranger. Cela est d’autant plus important, si ce dernier planifie d’exporter sur le marché américain. Il peut ainsi tirer avantage de coûts d’exploitation en dollar canadien et des traités de libre-échange entre les deux pays.
- Beaucoup d’acheteurs européens verront leur acquisition canadienne comme un tremplin pour augmenter leur présence nord-américaine. Votre entreprise sera peut-être appelée à grossir plutôt qu’à être assimilée. De plus, l’investisseur étranger pourra compter sur l’expérience locale de ses nouveaux employés. L’acheteur local, quant à lui, tentera probablement de rentabiliser son investissement en faisant des coupures dans le personnel et en fusionnant votre entreprise à la sienne.
- Les acheteurs locaux peuvent avoir des idées préconçues au sujet de votre entreprise, alors que les acheteurs européens auront un regard neuf et candide sur l’occasion qui s’offre à eux.
- Souvent, l’investisseur européen est très motivé à venir s’installer en Amérique du Nord à cause des possibilités de croissance et des profits à réaliser. En outre, il attache une grande importance à la stabilité et à la solidité de notre système bancaire. De plus, nos institutions financières sont de plus en plus habituées à transiger avec les investisseurs européens qui viennent s’installer au Canada.
- L’investisseur étranger préfère acheter des opérations existantes, plutôt que de prendre des risques et d’assumer les coûts liés à la création d’une nouvelle entreprise dans un pays étranger. Une opération existante sauvera du temps et de l’argent à longue échéance, même s’il ne s’agit pas d’un mariage parfait.
- Certains investisseurs seront motivés par le fait que l’achat d’une entreprise leur permettra d’immigrer au Canada.
- Enfin, étant donné qu’un investisseur étranger n’est probablement pas votre compétiteur direct, ce dernier risque moins de s’intéresser à votre entreprise uniquement dans le but de recueillir de l’information à son sujet.
Cafa croit que la promotion de votre entreprise auprès d’investisseurs européens vous démarquera de la « foule », et vous donnera l’occasion de maximiser la valeur de votre entreprise, tout en lui permettant de continuer à se développer.
Maximiser la valeur de votre entreprise lorsque vous la vendez à un investisseur à l’étranger
Les propriétaires ont le choix entre deux approches quand vient le temps de faire la promotion de leur entreprise à un investisseur étranger.
a) Processus informel: Le propriétaire peut approcher des acheteurs potentiels par le biais de ses contacts personnels, de gens rencontrés à des foires commerciales, de listes spécialisées ou même en faisant de la prospection téléphonique; ou
b) Processus formel: La création d’un processus compétitif confidentiel en faisant appel à une firme spécialisée en fusion et acquisition ayant une expérience dans les transactions transfrontalières.
Bien que le processus informel puisse fonctionner, ce dernier exige plus de temps et d’énergie que le processus formel. Par ailleurs, cette façon de procéder ne rejoint pas nécessairement le public que vous désirez cibler, et peut mettre la puce à l’oreille à vos compétiteurs que vous êtes à vendre. Enfin, il peut être plus difficile de vraiment savoir à qui vous avez affaire.
Cafa est votre solution
Cafa effectue des transactions transfrontalières depuis 1986, et possède maintenant des bureaux à Paris et à Madrid pour mieux vous servir. Notre firme occupe une position unique pour faire la promotion de votre entreprise auprès d’investisseurs européens. Voici comment nous pouvons vous aider :
- Nous approcherons uniquement des acheteurs européens dans votre secteur d’activité, en plus d’offrir votre entreprise à nos relations d’affaires à l’international qui sont déjà à la recherche d’entreprises à acheter au Canada.
- Nos associés européens peuvent facilement valider la capacité financière d’un investisseur pour s’assurer qu’il s’agit bel et bien d’acheteurs crédibles potentiels.
- Le processus formel est entièrement confidentiel; seuls les acheteurs potentiels que vous aurez choisis seront approchés.
- En tant qu’intermédiaires d’expérience, nous pouvons vous aider à comprendre et à gérer les différences culturelles durant le processus de vente.
1 “Le renouvellement de l’entrepreneuriat au Québec: Un regard de 2013 et 2018” Ministère des Finances et de l’Économie du Québec (MFEQ)
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